Dans ce texte créatif fondé sur des données ethnographiques, Sarah de Leeuw emploie de multiples techniques littéraires pour évoquer des émotions et des images associées avec les « régions jouxtant la route 16 qui ont subi les effets du colonialisme » (p. 215). Ce tronçon de route est surnommé la « route des larmes » en raison des quelque vingt femmes autochtones qui y ont été assassinées ou qui y sont disparues. La métaphore d'une saison de chasse est utilisée pour souligner les diverses formes de violence « coloniale » infligées aux femmes et aux enfants autochtones.
Citation en anglais
de Leeuw, S. (2017). Places of the open season. In P. Moss & C. Donovan (eds.), Writing intimacy into feminist geography, 1st edition (Chapter 19). Taylor & Francis Group.